Théâtre Sévelin 36 Menu Recherche

Théâtre Sévelin 36

Entrée libre

Contremarque gratuite obligatoire, disponible sur place dès une heure avant la représentation

Les Urbaines

Les Urbaines, vingt ans d’une scène artistique pionnière, aventureuse et indisciplinée ! La formule est unique en son genre: le festival propose gratuitement un instantané des pratiques artistiques les plus contemporaines, sans tête d’affiche. Durant trois jours, une quarantaine de performances, spectacles, installations et concerts mettent la ville en effervescence. L’exposition principale, à l’Espace Arlaud, est accessible jusqu’au 31 décembre.


Léa Meier (CH)
Lipstick Big Enough

Performance en français
60 minutes
Création
Théâtre Sévelin 36

Dans une ambiance moite et faussement girly, Léa Meier questionne l’influence du politique sur le corps féminin, son langage, ses attitudes et ses gestes. Un gang de femmes réinvente l’espace domestique et sociétal, dans une série de tableaux scénographiques et textiles. Relations de pouvoir, séduction, compétition : une pyjama party où l’alcool viendrait à manquer.

In a clammy and affectedly girly atmosphere, Léa Meier questions the influence of the political on the female body and its language, attitudes and gestures. A gang of women reinvents the domestic and societal space in a series of scenographic and textile tableaux. Power relationships, seduction and competition: a pyjama party where the alcohol is threatening to run out.

Dramaturgie collective: Tatiana Baumgartner, Louis Bonard, Agathe Hazard-Raboud, Léa Meier et Charlotte Nagel
Interprétation: Tatiana Baumgartner, Agathe Hazard-Raboud, Charlotte Nagel
Collaboration artistique: Louis Bonard
Musique: ChâteauGhetto, Charlotte Nagel
Construction: Cédric Simon, Justine Eglof
Avec le soutien de: Canton de Vaud, Loterie Romande, Fondation Emilie Gourd, Fondation Engelberts, Ernst Göhner Stiftung

Vendredi 2, 21:15
Samedi 3, 20:45
Dimanche 4, 17:15


Ligia Lewis (US)
Sorrow Swag

Performance en anglais
50 minutes
Première suisse
Théâtre Sévelin 36

Un corps en mouvement, sculpté par une brume compacte bleu vif et des nappes sonores de la même couleur. Dans cette pièce pour un danseur, immersive jusqu’à l’hypnose, Ligia Lewis propose une esthétique de la tristesse; dansée, dite, hurlée. Deuils indicibles, vagues à l’âme, solitude contemporaine, la chorégraphie décortique le langage de la mélancolie pour le restituer en un matériau purement émotionnel, empruntant entre autres au vocabulaire visuel et textuel du théâtre classique du vingtième siècle, de Beckett à Anouilh.

A body in movement, sculpted by a bright blue compact mist and soundtracks of the same colour. In this piece for one dancer - immersive to the point of hypnosis - Ligia Lewis offers up an aesthetic of sadness that is danced, told, and howled. Ineffable losses, doldrums, contemporary loneliness: the choreography dissects the language of melancholy in order to restore it to a purely emotional material, borrowing inter alia from the visual and textual vocabulary of twentieth-century classical theatre, from Beckett to Anouilh.

Concept et chorégraphie : Ligia Lewis
Interprétation : Andrew Hardwidge
Musique : George Lewis Jr.
ligialewis.com

Vendredi 2, 23:00
Samedi 3, 22:30
Dimanche 4, 19:00